Le recueil des contributions en ligne a été ouvert entre octobre 2015 et avril 2016, pour que chacun, citoyen-ne, professionnel-le, association, institution, puisse apporter son point de vue sur le dépistage du cancer du sein
et les évolutions souhaitées. Les contributeurs pouvaient choisir de s’exprimer de façon ouverte, ou bien en sléectionnant une des thématiques proposées.
Consultez l’analyse des contributions numériques produite par le comité d’orientation de la concertation.
Libellule
Citoyen/ne • 29 sept
Libellule, Citoyen/ne • 29 sept
c'est vrai cela n'est pas agréable du tout, image d'une machine qui nous écrase les seins, mais si utile, j'en passe depuis l'âge de 35 ans, mais dite vous que nos grand mère non pas eu cette chance..., nos amies ont cru bon de reporter cela a demain, donc pensez y cela peu vous sauvez la vie..... France
Sandy
Citoyen/ne • 29 sept
Sandy, Citoyen/ne • 29 sept
Vu les campagnes lancées les unes après les autres, l'argent jeté par les fenêtres qui ne convint plus les femmes, je pense surtout que ce dépistage est totalement inutile mais pas pour tout le monde. J'ai 50 ans et jamais, je ne participerais à cette mascarade.
marie51
Citoyen/ne • 29 sept
marie51, Citoyen/ne • 29 sept
Après le décès brutal de ma fille âgée de 27 ans, j'ai développé un cancer du sein hormonodépendant .Cancer diffus découvert grâce à la pugnacité du médecin radiologue qui a examiné la mammographie réalisée dans le cadre de la campagne de prévention . Si ce médecin ne m'avait pas signalé que le cancer du sein pouvait se développer après un choc émotionnel important, je n'aurai jamais parlé du décès de ma fille et l'examen se serait arrêté à la mammographie. J'ai subit l' ablation du sein ,un traitement léger (ni chimio ni rayons) et une reconstruction. Merci d'insister sur l'importance de consulter après un choc important.
juliasmile
Citoyen/ne • 29 sept
juliasmile, Citoyen/ne • 29 sept
Pour que les femmes puissent prendre leur décision de façon éclairée , il est nécessaire qu'elles pensent que ce soit vraiment utile et qu'elles aient une personne de confiance, professionnelle, dont c'est le métier qui les informent et les conseillent.
Peut être des réunions ,
On entend tout et son contraire sur le cancer du sein.
L'examen reste très douloureux pour celles qui ont de grosses poitrines dont je fais partie et franchement je ne cours pas pour passer ma mammographie, c'est de la torture cet examen et je ne plaisante pas, se faire écraser les seins de cette façon, je me suis même demandée si cela ne créerait pas un traumatisme et une tumeur ou boule quelques temps après.
Les champs de recherche prioritaire ce serait un examen sans écrasement, non douloureux , je suis certaine que cela est possible . Si on demandait aux hommes d'aller placer leurs organes génitaux sous deux presses, on aurait depuis longtemps trouvé un examen non barbare, messieurs vous pouvez tester une mammographie si vous voulez comprendre.
Déjà si ce point là était différent , je connais beaucoup plus de femmes qui passeraient des mammographies.
De plus il existe encore beaucoup de controverses que l'on peut lire sur internet comme vous pouvez le lire sur ce lien . Je n'ai pas réussis à inscrire le lien ci dessous .
https://www.santenatureinnovation.com/edition-speciale-le-depistage-du-cancer-du-sein-est-dangereux/
Merci de demander aux femmes leurs avis, c'est une très bonne initiativ
Cat93
Citoyen/ne • 29 sept
Cat93, Citoyen/ne • 29 sept
En 2012, on me détecte un cancer du sein. S'en suit une tumorectomie puis séances de radiothérapie et aujourd'hui tout va bien. Bien que j'ai été accueillie dans un hôpital (pour la chirurgie) avec un service "urgence sein" dédié au diagnostic et à la prise en charge précoce des cancers du sein, je trouve qu'il y a parfois un manque cruel d'informations données aux patientes et une "réticence" (inconsciente, je le pense) à nous impliquer dans le parcours de soin qui nous attend. Je m'explique : une grande partie des choses que j'ai apprises sur le cancer du sein provient de mes propres recherches et il faut trop souvent aller à la pêche aux informations auprès des personnels soignants quels qu'ils soient. Quand on est reçu par un médecin, un chirurgien, un radiothérapeute, etc., on devrait un peu plus sentir que le médecin est ouvert et prompt à répondre aux questions que l'on se pose dans ces moments. J'ai dans certains cas plus eu l’impression d'être un sujet de la médecine qu'une véritable actrice dans mon parcours de soins. Dans mon cas, cela s'est plutôt bien passé car je tiens à beaucoup m'impliquer dans tout ce qui concerne ma santé en ayant pour objectif de comprendre complètement TOUT ce qu'on me dit, me prescrit, m'explique etc. Mes recherches d'informations en amont ont aussi été fort utiles pour décrypter le langage et le vocabulaire purement médicale des médecins. Donc à tous les personnels soignants, revoyez votre co-mmu-ni-ca-tion s'il vous plait. Merci.
Catcar
Citoyen/ne • 29 sept
Catcar, Citoyen/ne • 29 sept
bonjour, j'ai 32 ans et je ne peux prétendre à un dépistage , raison invoquée des médecins , je suis trop jeune, mais quand on sait que le cancer du sein n'est pas réservé aux personnes d'un certain âge. Il serait bon d'étudier le problème afin que les plus jeunes soient aussi dépisté avant qu'il ne soit trop tard.
juliasmile
Citoyen/ne • 29 sept
juliasmile, Citoyen/ne • 29 sept
Pour que les femmes puissent prendre leur décision de façon éclairée , il est nécessaire qu'elles pensent que ce soit vraiment utile et qu'elles aient une personne de confiance, professionnelle, dont c'est le métier qui les informent et les conseillent.
Peut être des réunions ,
On entend tout et son contraire sur le cancer du sein.
L'examen reste très douloureux pour celles qui ont de grosses poitrines dont je fais partie et franchement je ne cours pas pour passer ma mammographie, c'est de la torture cet examen et je ne plaisante pas, se faire écraser les seins de cette façon, je me suis même demandée si cela ne créerait pas un traumatisme et une tumeur ou boule quelques temps après.
Les champs de recherche prioritaire ce serait un examen sans écrasement non douloureux , je suis certaine que cela est possible . Si on demandait aux hommes d'aller placer leurs organes génitaux sous deux presses, on aurait depuis longtemps trouvé un examen non barbare, messieurs vous pouvez tester une mammographie si vous voulez comprendre.
Déjà si ce point là était différent , je connais beaucoup plus de femmes qui passeraient des mammographies.
De plus il existe encore beaucoup de controverses que l'on peut lire sur internet comme vous pouvez le lire sur ce lien . Je n'ai pas réussis à inscrire le lien ci dessous .
https://www.santenatureinnovation.com/edition-speciale-le-depistage-du-cancer-du-sein-est-dangereux/
Merci de demander aux femmes leurs avis, c'est une très bonne initiati
zirvi
Professionnel • 29 sept
zirvi, Professionnel • 29 sept
Peut on se poser la question ( et demander à des experts indépendants d'y répondre...) de la dépense occasionnée par le dépistage organisé du cancer du sein, depuis tant d'années, au regard de son efficacité réelle et du "coût social" ( du aux faux positifs... ce coût social dont on parle très peu en France est comme le "sein qu'on ne saurait voir" de Tartuffe) qu'il engendre, quand la majorité des études et des conclusions d'experts tendent à démontrer que la baisse (tardive) de mortalité observée tient avant tout aux progrès de la prise en charge thérapeutique de plus en plus précise et individualisée. Attention à ne pas arriver avec ce type de dépistage ( et d'excès? notamment par la vieille technique de culpabilisation des non impliqués) à plomber les actions futures comme ce fut le cas dans d'autre domaines... voir celui de la vaccination (et de certaines "sur-réactions" dont on sait quelles furent les conséquences sur la crédibilité de nos politiques publiques de santé)